
Quand on a vécu, comme moi, tant d'années dans la banlieue nord de Paris, tous les lieux, toutes les lignes de métros, de RER, tous les atmosphères décrits par Fottorino résonnent très clairement et évoquent tellement de souvenirs.
Durant la lecture, j'arpentais avec l'auteur quelques stations du métropolitain parisien. Sorte de pèlerinage macabre car nous revenions sur les lieux d'un étrange crime social, où des individus se sont jetés sous les rames. Sombre violence d'un suicide banal. De la station de métro Cambronne, à...
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